Je me rappelle merveilleusement bien de cette quantième. Ce n’était pas une circonstance grave. Rien de présent de l’extérieur. Mais en moi, des éléments ne tenait plus. Les soucis s’accumulaient, sans suite. Les pensées tournaient, mais aucune ne s’imposait. J’avais besoin de comprendre, ou au moins de regarder un doigt https://judahukznc.myparisblog.com/36722144/ce-que-peut-changer-un-proverbe-appris-dans-les-merveilleuses-minutes