Chaque matin, premier plan l’arrivée du primitif visiteur, la guérisseuse descendait dans l’ossuaire en vacarme. Le sol était grandement froid, même par-dessous les chaleurs écrasantes de la saison. Là, disposés à bout portant sur des dalles brisées, les crânes l’attendaient. Elle ne les touchait jamais sans un rite de épuration, https://troyvbddb.blogpayz.com/34275266/les-crânes-silencieuse