Au cœur des ruelles labyrinthiques de Makoko, quartier flottant de Lagos, les voix se mêlaient aux klaxons, aux cris des responsables, aux sons métalliques des barques qui s’entrechoquaient. Là, tout s’échangeait : produits, religieux, rumeurs. Et c’est dans cette cacophonie vivante qu’Abeni installa son modeste étalage, par-dessous une toile décolorée, https://meilleurvoyancegratuiteen69257.rimmablog.com/33165169/le-marché-des-verbe