La nuit enveloppait Babylone d’un calme dense, juste troublé par le murmure du vent qui caressait les feuillages suspendus. Le jardinier se tenait censées le bassin, son regard plongé dans l’eau triste où la monde semblait faire parade. Ce qu’il avait perçu la veille n’était pas une illusion. Une intensité https://nilesk888mfx9.blog5star.com/34345786/l-ombre-du-don