Le silence pesait sur l’abbaye de la même façon qu'un suaire. Le vent qui s’infiltrait par les fissures des murs semblait enfiler des murmures indistincts, tels que si la pierre elle-même conservait la évocation des âmes disparues. Le moine restait prostré devant le manuscrit, sa souffle saccadée, les clavier crispées https://brookslorsu.spintheblog.com/34212688/les-noms-tracés-sanguin